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Le blog de Jacqueline Picca Dubreuil
23 mai 2007

Programme : Environnement

ecologyLa politique de l'environnement du Mouvement Pour la France

I Ce qu'a fait Philippe de Villiers pour l'environnement
II Son projet pour l'environnement
III Son projet pour l'énergie
IV L'environnement et la problématique de l'équilibre ville/campagne
V L'environnement au cœur d'une nouvelle politique étrangère

I- Philippe de Villiers a mené deux grands combats nationaux pour l'environnement et la santé publique
1) Au moment de la marée noire de l'Erika, pour faire admettre :
le principe "pollueur-payeur" et non plus "pollue-payeur"; -    et le principe de la co-responsabilité "affréteur-armateur".
2) Au moment de la tragédie vécue par le petit peuple des apiculteurs :
pour faire interdire les produits neurotoxiques, le "Gaucho" et le "Régent", et pour faire appliquer, en matière d'OGM, le "principe de précaution".

II- Son projet pour l'environnement
Il se nourrit de ses combats nationaux et aussi de son expérience de terrain en tant que Président du Conseil général de la Vendée puisque Philippe de Villiers a emprunté une voie novatrice. Son projet pour l'environnement peut se résumer à travers le concept expérimenté en Vendée de "civisme écologique".
Ce qui a permis de :
- sauver les paysages, les dunes, les marais, les bocages, les haies etc.,
- créer une école départementale du "Patrimoine naturel",
-    trouver une formule alternative à l'incinération des ordures ménagères, en s'appuyant sur le "tri civique et naturel",
- concevoir un "village écologique pour les énergies nouvelles".

III- Son projet pour l'énergie vise à sortir, à terme, de l'alternative du "tout pétrole" et du "tout nucléaire".
Avec deux objectifs nationaux : (qu'il s'est aussi donné comme objectif à cinq ans en tant que Président de la Vendée)
- diminuer de 30 % la consommation d'eau et d'énergie, notamment dans les bâtiments publics,
- augmenter de 30 % les sources d'énergie nouvelles.

IV- La dimension environnementale est omniprésente dans son souci de l'équilibre ville-campagne
Philippe de Villiers propose de mettre fin au chasse-croisé insupportable :
d'un côté la surconcentration urbaine avec la folie de l'habitat vertical et inhumain et avec des villes parfois invivables, irrespirables tant elles sont submergées par la pollution,
d'un autre côté la désertification rurale avec des campagnes où la vie s'en va et où se côtoient les friches agricoles et les friches industrielles. Philippe de Villiers propose tout un programme pour nos villes afin qu'elles privilégient l'humain et tout un programme pour nos campagnes à partir du concept de la ruralité vivante.

V- La dimension environnementale est au coeur de sa "politique étrangère rénovée" avec deux missions nouvelles :
1) Assurer la sécurité écologique des Français face au dumping des pays émergents.
Nous ne pouvons plus accepter que nos emplois soient détruits par des pays dont la croissance repose sur l'exploitation frénétique des ressources naturelles et la mise en péril des équilibres écologiques fondamentaux de la planète.
En effet, nous imposons à nos entreprises le respect de normes environnementales particulièrement exigeantes qui pèsent naturellement sur leur compétitivité. Si nous laissons entrer sur le marché européen des produits étrangers concurrents qui ne sont pas soumis aux mêmes normes, nous faussons nous-mêmes la concurrence au détriment de nos propres entreprises.
Si nos produits chimiques sont soumis au "règlement Reach" mais pas les produits chimiques importés, nous créerons un grave déséquilibre en défaveur de nos entreprises et de nos emplois.
Si nous appliquons le protocole de Kyoto et que nous laissons entrer sans droits compensateurs des produits provenant de pays qui refusent de l'appliquer, nous laissons délibérément détruire nos secteurs productifs par les plus gros pollueurs de la planète.
Nous ne pouvons pas laisser nos emplois à la merci du dumping environnemental, sanitaire et social des Etats émergents.

2) Face au risque de catastrophes naturelles qu'entraîné le réchauffement climatique, il est urgent de doter nos armées d'une expertise nationale de pointe
leur permettant de se porter au secours des populations victimes de catastrophes climatiques (tsunamis, submersions de territoires, marées noires, cyclones, etc...), dans des conditions de professionnalisme, de rapidité et d'efficacité exemplaires.
Il s'agit de jeter les bases d'un véritable corps d'intervention de type "casques verts" appelé à se développer et à se mettre au service des populations du monde menacées par les dérèglements climatiques.

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